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Fabien Lo Cicero

Fabien Lo Cicero - 38 ans - bassiste - résidant à

Dijon (21)



Débute la basse à l’âge de 14 ans sous la sombre

influence de Simon Gallup bassiste de The Cure.

C’est donc la basse sur les genoux et au mediator

que Fabien Lo Cicero fait ses armes au sein de

groupes new wave régionaux formés avec des

copains lycéens. Puis la curiosité musicale et

l’amour de la basse lui font découvrir via le

groupe Level 42 toutes les étendues techniques

possibles de son instrument : c’est la découverte

du slap et de la funk music. Il jette donc son

mediator, remonte sa basse, arrête ses études et

décide de travailler sérieusement la musique.



Fin des années 80, il apprend le métier et gagne

ses premiers cachets dans des orchestres de bals.



En 1991 il incorpore le groupe de reprises

jazz/funk "501". Sous l’égide du leader Martial

Henzelin, pianiste/chanteur, il découvre le jazz.

Au sein de "501" il arpente le monde du piano

bar durant près de 10 ans dans la France entière

mais aussi au Luxembourg, en Suisse et en

Allemagne. C’est le lieu de rencontres musicales

aussi diversifiées qu’enrichissantes : Michel

Cusson (guitariste d’UZEB), Bireli Lagrene,

Andre Ceccarelli, George Michael...



Avec Martial Henzelin et le batteur Jean Pierre

Frelezeau ils créent leur propre trio jazz et

enregistrent un album de leurs compositions

"Trio" (1995). Cette formation leur permettra de

participer à bon nombre de festivals de jazz en

France.



Parallèlement au piano bar, il fréquente les

studios parisiens et participe à nombre de

musiques de films pour les productions Ennio

Morricone, mais aussi pour TF1 et France2.



C’est l’époque du jazz/fusion où les Dieux se

nomment Thierry Eliez, Jean Marc Jafet, Victor

Bailey et de son amitié naissante avec André

Ceccarelli.



En 1997, lassé par le monde du piano bar, Fabien

Lo Cicero voyage en Asie. Il traverse ainsi le

Nepal, l’Inde, la Chine et le Japon. A son retour il

décide alors de se consacrer uniquement à la

composition et monte le projet NAMASKAAR

avec l’aide de son ami Christophe Fanjaud. Un

premier album en 1997 "Tales From Asia" lui

permet de faire ses premières armes à la fretless

et de rendre hommage à ces contrées extrèmes

orientales devenues si chères à son coeur.



A tel point qu’il décide fin 98 de partir vivre au

Japon. Là-bas, il tournera avec la chanteuse

irlandaise Michele Flynn (SonyJapan), travaillera

pour la chaine de télévision NHK et rencontrera

divers musiciens avec qui il liera amitié.

Notamment le pianiste Osamu Kubota et la

chanteuse Aki Suzuki. Avec eux et avec l’aide de

Good Cool Productions, il commence à enregistrer

le deuxième album de NAMASKAAR.



Il rentre en France pour terminer l’album avec son

alter ego Christophe Fanjaud. "Mo Ichi Do" sort

en février 2000.



Toujours avide de nouvelles expériences, il

part vivre à Nantes. Son séjour nantais sera

principalement marqué par sa collaboration

avec le chanteur/compositeur Guillaume Corpard

avec qui il enregistrera deux albums. Il invitera

même son ami André Ceccarelli à participer à

l’aventure de Guillaume Corpard.



2002, il incorpore les rangs de JACK ROBERT,

septet acidjazz/funk et participe au Festival de

Jazz de Montreux. C’est au sein de cette formation

qu’il retrouve ses amis de toujours Martial

Henzelin et le guitariste Philippe Figueira.

Il décide donc de revenir sur Dijon afin de

re-travailler avec eux. Deux albums naitront de

cette collaboration "Positive" en 2002 et

"Jack Robert" en 2004.



Entre deux dates prestigieuses avec JACK

ROBERT (Carlton de Cannes) il regroupe

certaines séances de studio et sort son premier

album solo. "Sessions" (janvier 2004) est une

carte postale sonore représentative de l’univers

japonisant très particulier du bassiste. Basses

fretless et frettées sont à l’honneur bien sur.



En avril 2004, il devient l’heureux propriétaire d’un

Stick Chapman. Il découvre aussi la musique des

groupes MINIMUM VITAL, SPOCK’S BEARD et

surtout THE FLOWER KINGS ! C’est la claque !

Une véritable révélation dans le sens religieux du

terme. Le rock progressif devient alors sa priorité

musicale...



Le site de Fabien

http://www.nmskproductions.com



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